Index des thèmes

Quelques thèmes récurrents :

autour de l’écriture

l’intime et au-delà

la mémoire

la géographie

les animaux

la politique

l’épidémie

  • le début : 9 mars 2020 (une femme porte un masque dans le train), 13 mars 2020 (les gens en parlent ; et je visite le musée avant qu’il ne ferme), 15 mars 2020 (le dimanche à Montauban quand les cafés sont fermés), 17 mars 2020 (je décide de rester confiné à Montauban)
  • le confinement du printemps 2020 : 18 mars 2020 (je ne peux pas me plaindre, par rapport à tant d’autres), 19 mars 2020 (« nous sommes en guerre »), 20 mars 2020 (je ne suis pas indispensable), 22 mars 2020 (les amis contaminés), 24 mars 2020 (une semaine de confinement), 27 mars 2020 (les corps me manquent), 28 mars 2020 (la dernière fois que ma peau a touché la peau de quelqu’un d’autre), 29 mars 2020 (je passe dans les lieux décrits dans mes nouvelles), 31 mars 2020 (j’apprends la mort de quelqu’un que j’ai connu), 1er avril 2020 (les attestations dérogatoires de déplacement), 2 avril 2020 (la nature en ville), 4 avril 2020 (comment les gens se comportent dans la rue), 6 avril 2020 (apparition de nouveaux déchets), 7 avril 2020 (le confinement n’est pas une résidence de création), 10 avril 2020 (prendre le train pendant le confinement), 14 avril 2020 (Macron se fout de notre gueule), 24 avril 2020 (je n’ai pas applaudi à 20 heures), 2 mai 2020 (la limite d’un kilomètre dans mon quartier archi-dense), 4 mai 2020 (le droit de voir ma sœur dans cette limite kilométrique), 7 mai 2020 (le curseur du voilé-dévoilé déplacé par le port du masque)
  • le « déconfinement » du printemps et de l’été 2020 : 9 mai 2020 (enfourcher le tigre), 11 mai 2020 (les gens qui n’ont nulle part où aller), 19 mai 2020 (les gens à demi-nus, mais masqués), 2 juin 2020 (il n’y a que cet appartement que j’ai occupé ainsi), 4 juin 2020 (une rencontre scolaire en visioconférence), 24 juin 2020 (toucher des objets quand on ne peut plus toucher les gens), 18 juillet 2020 (vivre en mode dégradé : ça peut durer longtemps), 27 juillet 2020 (quelques gouttes de sang pour tester le virus)
  • ça ne s’arrange pas, ça redémarre : 11 août 2020 (le port du masque n’est obligatoire que dans les rues que j’aime), 3 septembre 2020 (les lycéens masqués), 8 septembre 2020 (la bouillie consolatrice, très peu pour moi), 19 septembre 2020 (prendre du plaisir malgré les gestes barrières), 28 septembre 2020 (soirée presque clandestine pour Les présents), 12 octobre 2020 (tous les événements sont annulés, même en plein air), 15 octobre 2020 (joie d’un projet collectif quand même)
  • le couvre-feu, les restrictions qui n’en finissent pas : 17 octobre 2020 (annonce du couvre-feu doublée par l’interprète en LSF qui signait aussi L’épaisseur du trait), 25 octobre 2020 (une vidéo à défaut d’un vrai Marché de la poésie), 30 octobre 2020 (j’ai plus peur de la dépression que du covid), 10 novembre 2020 (tenir en attendant quoi ?), 26 novembre 2020 (peur d’être contrôlé par les flics, en rêve), 1er décembre 2020 (truander un peu les règles du confinement pour voir un ami), 13 décembre 2020 (on ne s’embrasse pas, même en rêve), 31 décembre 2020 (le bar, fermé pour toujours ou seulement par le confinement ?), 12 janvier 2021 (désir urgent pour les fêtes impossibles), 25 février 2021 (quitter Paris le temps d’un weekend, ses flics et ses masques), 5 mars 2021 (un élève veut voir mon visage sans masque), 10 mars 2021 (le couvre-feu joue contre notre désir), 17 mars 2021 (me réchauffer auprès de ceux qui sont encore vivants dedans), 1er avril 2021 (les renoncements, la vie dégradée, les concessions), 7 mai 2021 (quand le couvre-feu sera enfin aboli), 17 mai 2021 (les cafés vont rouvrir enfin), 2 juin 2021 (les campagnes de Santé publique France)
  • un retour à la normale : 17 juin 2021 (voir les visages des élèves)