Pour les besoins d’un travail en cours, j’ai ouvert la grande caisse où je range mes plans de ville, et je me suis promené dans celui-ci. Pour deux raisons. Petit un, parce que ce plan est très beau. Petit deux, parce que c’est Rome, et en particulier le quartier de Testaccio, et que je fais référence à cette colline dans le texte que j’écris (que je corrige en ce moment), c’est-à-dire mon roman, c’est-à-dire L’épaisseur du trait.
Enfin, bon, la troisième raison, qui est en réalité la raison unique (parce qu’il n’y a pas deux, ni trois raisons pour lesquelles j’ai ressorti ce plan, mais une seule), c’est que j’aime ça, regarder mes plans. « Pour les besoins d’un travail en cours », on ne va pas se mentir, c’est surtout que ça me fait plaisir.
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