J’ai pris un café. Lui, un Perrier. Ça fait deux heures que nous sommes là : le fond de ma tasse est archi-sec ; sa petite bouteille est à moitié vide et son verre à moitié plein. Je demande : « Tu n’avais pas soif ? » Il répond : « Je n’aime pas l’eau gazeuse. » À cause de la tête que je …
Continuer la lecture « Puisque je suis aimable, qu’ils m’aiment donc »