Georges Hyvernaud. La peau et les os.Pochep. La pierre bleue.Charles Dickens. Un conte de deux villes (traduction d’Emmanuel Bove).William Marx. Un savoir gai.Paolo Cognetti. Les huit montagnes (traduction d’Anita Rochedy).Jacques Jouet. 107 âmes.Alessandro Baricco. Soie (traduction de Françoise Brun).Yves Pagès. Souviens-moi.Côme Martin-Karl. La réaction.Patrick Joquel. Quant au guépard, je t’en parlerai plus tard.
Archives de l’étiquette : Emmanuel Bove
« Splendeurs et misères des couturières », ou « Le pari des Rabot »
J’avais envie de romanesque, voire de rocambolesque : quelque chose de feuilletonnant. J’ai été servi par Un conte de deux villes. Quand je l’ai fini, H. m’a dit : « J’adore les scènes d’auberge, et aussi la description du salon glacial d’un aristo français » — il m’impressionne, il connaît tout. C’est le seul livre de Dickens que j’ai …
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La gare de Lyon : une anthologie
Dans Les boulevards de ceinture, je tombe sur ce passage : Ceux qui me connaissent savent que j’ai un faible, moi aussi, pour la gare de Lyon. C’est comme ça, je n’y peux rien. J’avais pris en photo cette phrase-ci, dans Mes amis : elle était trop belle pour être vraie : Je me demande …