« Splendeurs et misères des couturières », ou « Le pari des Rabot »

J’avais envie de romanesque, voire de rocambolesque : quelque chose de feuilletonnant. J’ai été servi par Un conte de deux villes. Quand je l’ai fini, H. m’a dit : « J’adore les scènes d’auberge, et aussi la description du salon glacial d’un aristo français » — il m’impressionne, il connaît tout. C’est le seul livre de Dickens que j’ai …