Pendant les ateliers d’écriture que j’ai animés, j’ai proposé à chacun, à chacune, de choisir un lieu. Et, à partir de ce lieu, d’écrire une histoire. Entre le début et la fin, que s’est-il passé ? J’ai parlé (beaucoup), pour lancer des idées, tendre des perches, indiquer des pistes. Pour décrire le lieu, pour évoquer des émotions, pour créer un personnage. Et chacun, chacune, a écrit son histoire — réelle ou imaginaire — ancrée dans un lieu. Ensuite, j’ai placé ces histoires sur la carte du territoire :
Continuer la lectureArchives de l’étiquette : la Vendée
C’est un pic, c’est un cap
On traversait la forêt de Vouvant. Un panneau signalait la possibilité qu’une biche nous coupât la route : ça n’a pas manqué, une biche est sortie du bois, a traversé devant nous. Puis, un autre panneau, plus loin : « Attention enfants ». J’ignorais que des enfants sauvages pussent vivre en ces bois. On ne les a pas vus.
Continuer la lectureSages comme des images dans le journal
Là, le but du jeu était : « faire semblant d’être des enfants sages pendant que le photographe de Ouest France est dans la classe ». Ils sont très forts en mime, les gosses de Saint-Martin-Lars !

Voilà, grâce au journal, vous connaissez maintenant les bonnes bouilles des élèves dont je parle sur ce blog, ici et là. Vous pourrez les rencontrer en vrai, vous aussi, à Saint-Juire, mardi prochain à 18h30.
Écrire en noir et blanc et en couleurs
En vrai, je suis en couleurs (vous pourrez le vérifier si vous venez vendredi soir à Saint-Michel-en-l’Herm, comme l’article vous y invite). Et en vrai, il arrive que je sois aussi froissé que sur ce journal (parce que je ne repasse jamais mes chemises).

(Ouest France, 14 mai 2019)
Ce qui est Renaissance et ce qui ne l’est pas
Je connaissais déjà Fontenay-sous-Bois et Fontenay-aux-Roses, mais les gens d’ici, quand ils disent « Fontenay », c’est pour dire « Fontenay-le-Comte » — et cette ville-là, je ne la connaissais pas.
Continuer la lectureOn allait au bord de la mer
Je le savais : j’étais déjà venu à la Tranche-sur-Mer. Un nom pareil ne s’oublie pas. J’ai donc cherché, avec Juline, dans nos albums photos, et on a trouvé les preuves.
L’été, pour les vacances, « on allait au bord de la mer, avec ma sœur, ma mère » (et on écoutait cette chanson, précisément, dans la voiture, car notre mère n’avait pas d’autre cassette à mettre dans l’autoradio). Deux fois, nous sommes venus en Vendée.

Se laisser surprendre
Troisième et dernière séance à Saint-Martin-Lars-pour-les-intimes (Saint-Martin-Lars-en-Sainte-Hermine pour les officiels) : cette fois, je n’ai pas eu besoin de me lever aux aurores, parce que je suis venu en début d’après-midi.
Continuer la lectureLa carte, le territoire et moi
On croirait que je présente la météo, sur cette photo : en réalité, je pose devant la carte participative affichée à la médiathèque. Et la photo, c’est dans le Ouest France d’aujourd’hui.

Un faible pour Lairoux
J’ai un faible pour Lairoux. Je n’ai pas dit « pour les roux » (encore que ce serait vrai aussi, car j’aime bien les garçons roux — je ne sais pas pourquoi —, mais ce n’est pas le sujet, ici). J’ai vu pas mal d’endroits chouettes dans les parages, mais j’avoue : Lairoux, ça me botte spécialement.

C’est à Thiré que ça se passe

Cet après-midi, atelier d’écriture à Thiré. Merci aux Arts florissants pour la mention dans le programme du Festival de printemps !