On a eu chaud

Le sable sous les pieds est carrément pénible. Je regarde, curieux : ma peau a rougi. Je craignais les brûlures d’en-haut (pas un seul nuage en vue), mais je n’avais pas pensé à celles du dessous. Il y a deux jours, au kiosque d’informations touristiques de Ravenne, aux trois ragazze et au ragazzo (le sourire …

C’était même balnéaire

Cela faisait, quoi, six semaines que je n’étais pas descendu sous terre, à cause des cinq passées en Vendée, puis de celle qui vient de s’écouler pendant laquelle je ne me suis déplacé qu’à pied et, une fois, en bus, c’est-à-dire au-dessus du niveau du sol ; mais hier soir, on a pris le métro, J.-E. …