Pour rentrer chez moi, j’emprunte cette rue bordée de trottoirs très hauts. Je ne vois pas le Tibre à ma droite, puisque la chaussée s’enfonce comme dans une tranchée, en contrebas du quai. Et j’ai le soleil dans l’œil. À gauche, c’est la prison du Trastevere. On installe devant la porte des barrières métalliques de …
Continuer la lecture « L’homme que tout le monde attendait manque à l’appel »