Dans le nouveau Cafard hérétique, je dis la grâce des lignes courbes : les ondulations discrètes de la rue de Charenton et l’arête franche de la mandibule. Les deux portraits peints sont de Saïd Mohamed. Dans ce numéro, il y a aussi « Tes yeux, la valise ». C’est une nouvelle qui finit bien, puisqu’elle …
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