Dans le nouveau Cafard hérétique, je dis la grâce des lignes courbes : les ondulations discrètes de la rue de Charenton et l’arête franche de la mandibule. Les deux portraits peints sont de Saïd Mohamed.



Dans ce numéro, il y a aussi « Tes yeux, la valise ». C’est une nouvelle qui finit bien, puisqu’elle finit grâce à un train. Le portrait du garçon aux yeux louches est de Gilles Ascaso.


Tiens, l’un de mes tableaux !
Merci Antonin de m’avoir mis en lien -)
Et bravo pour « Tes yeux, la valise ».
Bonne continuation,
gilles