C’était l’été au jardin de Reuilly ; les gens étaient beaux ; ils étaient assis ou couchés, ou adoptaient des positions hybrides entre l’assis et le couché : accoudé dans l’herbe, les jambes étendues, l’autre bras laissé libre pour dessiner des gestes dans le ciel bleu, soulignant la parole gaie, enjouée, abondante ; certains torses étaient nus ; les jambes …
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