Comme le jour et la nuit

L’un des charmes de mon quartier, c’est qu’à toute heure on y trouve des gens qui veillent. Oui, il est trois heures ce mercredi soir, ou ce jeudi matin, et pourquoi n’y aurait-il personne dehors ? Un garçon et une fille s’embrassent. Ça commence bien. La suite, j’aime moins : ça traîne, ça titube, ça s’épave, ça …

L’intensité jamais ne déçoit

Il y a un cadre. S’il n’y avait pas de cadre, il n’y aurait rien dans le cadre. Logique. Ici, le cadre est matérialisé par les contours de la salle de classe (l’espace) et les cinquante-cinq minutes du cours (le temps). Devant les élèves, P. dit qu’il n’aime pas les horaires, la routine, les programmes …