Dans le RER, j’écris ma lettre pour A*, qui était déjà prête dans ma tête depuis longtemps.
Je vais chez Créa à midi et, ensuite, bien que ce ne soit pas du tout sur mon chemin, je me dis que, hop, j’ai tout juste le temps de passer chez Gibert avec que les cours reprennent. Je voulais La tendresse sur la peau ; ils ne l’ont pas en occase, tant pis. J’opte pour Guibert : L’homme au chapeau rouge. J’hésite pour Armistead Maupin (Chroniques de San Francisco), mais je renonce : j’ai déjà tellement de livres à lire…
À la page 143, Glamorama commence enfin ! Ce Bret Easton Ellis est très fort : j’ai envie de dévorer ce livre et, à la fois, j’ai envie qu’il dure.
Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no7 (intitulé Vincent, Alexandre, Édouard et les autres, 29 novembre 2005 – 18 mars 2006), j’ai dix-sept et dix-huit ans.