Ça y est, tout est encré. Ma planche est terminée… Lui donnerai-je un titre ? Lequel ?
Continuer la lectureJeudi 28 juillet 2005
Ça y est, j’ai mon scénario pour le concours. Je vais commencer le dessin, et j’ai intérêt à le soigner. J’ai cherché de la documentation sur Internet : des photos — d’un bernard-l’ermite ; — d’un camion-poubelles ; — d’un beagle.
Continuer la lectureMercredi 27 juillet 2005
Mon rêve de cette nuit. J’allais à Parly 2, seul, à pied. À un moment, il faut que je prenne un ascenseur. Il est plein à craquer. Parmi tous ces gens, il y a Flore. « Tiens, que fais-tu ici ? », etc. On décide de passer un moment ensemble. On entre dans Parly 2. On arrive dans la clinique. On comprend alors qu’on est dans la mauvaise partie du centre, on décide donc de marcher encore. On atteint les boutiques. Et là, je vois une sorte de présentoir à cartes postales, vous savez, les machins sur pied qui tournent. Et je m’écrie : « Ah, les cons ! Ils n’ont rien compris ! » parce qu’ils ont disposé mes planches de B* sur ce présentoir, séparément, planche par planche. « Ils sont trop cons : ils n’ont pas compris que c’était une histoire complète ? » Flore me dit de me calmer, et de regarder « là-bas ». Là-bas, c’est le coin librairie. Sur la table, il y a des tas d’exemplaires de mon B* (au moins une cinquantaine) reliés. Une grande joie m’envahit. Je m’approche. Les deux types qui tiennent le stand me saluent. Je dis que je suis surpris qu’ils en aient tiré autant d’exemplaires : ils comptent donc vendre tout ça ? Ils me répondent d’un air confiant. Oui, sans problème. Voilà, c’était : « les rêves de gloire d’Antonin Crenn ».
Continuer la lectureMardi 26 juillet 2005
Terminé ! J’ai fini la cinquante-troisième planche aujourd’hui. Tout est bouclé. Ça fait plaisir. Je suis content de moi : ça ressemble assez fidèlement à ce que je voulais faire.
Continuer la lectureLundi 25 juillet 2005
Cette nuit, un de ces rêves comme j’en fais quelquefois, que je n’aime pas. Ils me mettent mal à l’aise. Sur le moment, le rêve se passe sans problème, mais au réveil, je réalise. Et c’est là que j’ai ce sentiment désagréable. J’étais à une soirée, une sorte de fête de famille. Bien sûr, il y avait maman et Juline, et un tas d’autres gens. Je vois papa. Je suis surpris : depuis si longtemps je ne l’ai pas vu ! Je me demande pourquoi ce temps si long. Toutes ces années sans se voir… Je me demande ce qu’il est devenu. Je comprends plus ou moins que c’est maman qui s’est arrangée pour que je n’aie plus de contact avec lui. Au début, je ne sais pas comment me comporter avec lui. Nous sommes comme des étrangers. Puis, petit à petit, le lien s’établit. À la fin de rêve, je m’aperçois que, pendant cette soirée, j’ai passé le plus clair de mon temps avec lui. Je me souviens qu’il était beau.
Continuer la lectureDimanche 24 juillet 2005
J’ai dessiné les planches 43, 44 et 45. J’ai remanié le scénario : la cinquante-deuxième planche fait maintenant deux planches (si bien que l’histoire en fait désormais cinquante-trois). Je trouvais ça trop tassé. Je n’ai rien ajouté, seulement aéré.
Continuer la lectureSamedi 23 juillet 2005
J’ai dessiné les planches 40, 41 et 42.
Continuer la lectureVendredi 22 juillet 2005
Je n’ai presque pas dessiné. J’ai donné les vingt-huit premières planches à maman pour qu’elle les réduise au photocopieur. C’est très classe.
Continuer la lectureJeudi 21 juillet 2005
J’ai dessiné les planches 38 et 39. Soit… les trois quarts terminés. Youpi !
Continuer la lectureMercredi 20 juillet 2005
D’après un site à la con, les « B* » sont des personnes sociables, généreuses, bien intégrées au groupe, agréables en société. Tu parles ! Le mien est secret, silencieux, taciturne, solitaire !
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