À la radio, un vieux critique de cinéma, qui l’avait vu à sa sortie il y a cinquante ans, dit que le Paris qu’on voit dans ce film1 n’existe plus : l’hôpital Laennec où travaille Veronika a été vendu au milliardaire Pinault et, surtout, il est impossible d’imaginer aujourd’hui que des jeunes gens pauvres passent leurs …
Continuer la lecture « Je suis pris à mon propre (et doux) piège »