Ce matin, j’ai écrit dans le train. Vincent était là.
J’ai écrit ma journée d’hier : je n’avais pas écrit depuis une semaine et je n’aime pas ne pas écrire. C’est presque une obligation pour moi de tenir ce journal. Je m’y sens contraint. Et le jour d’hier était important.
À l’école, c’est l’effervescence. On commence à accrocher les travaux pour les portes ouvertes vendredi et samedi. Tout le monde est survolté, surexcité. J’aime cette ambiance.
Je me suis occupé du film « 150 bouches » avec Camille. Et je lui ai raconté Alexandre.
Je veux voir Brokeback Mountain. J’ai failli me décider à le voir seul cet après-midi, mais je me suis plutôt occupé du montage du film des bouches.
Hier, j’ai terminé Un jeune Américain. C’est beau, j’aime le style. C’était passionnant. Il faut que j’achète la suite : La tendresse sur la peau. Mais j’ai tellement de livres à lire, déjà… Et des BD que j’ai depuis un mois, toujours pas lues… Aujourd’hui, j’ai commencé Des cœurs découpés de notre prof Brigitte Smadja, prêté par Coline.
Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no7 (intitulé Vincent, Alexandre, Édouard et les autres, 29 novembre 2005 – 18 mars 2006), j’ai dix-sept et dix-huit ans.