J’ai eu des idées pour Bazart :
- une planche sur les cent cinquante ans de l’école, que j’ai seulement crayonnée ;
- deux planches sur les chevaux de la frise (la reproduction des chevaux du Parthénon, qui décore la cour de l’école). J’ai fait comme pour Le dernier chocolat : douze images par page, un plan fixe avec des dialogues. J’aime beaucoup.
J’ai bossé (très vaguement).
J’ai passé deux heures chez S*, qui revient d’une semaine à Madrid. Elle m’a raconté Ignacio et Daniel. Je lui ai raconté Alexandre et Vincent.
Ce soir, grand événement ! Sur MSN, c’est B* qui m’aborde, par un « Salut ! » amical. C’est lui qui entame la conversation. Cela n’était plus arrivé depuis un an, au moins. J’en suis certain. Et même au-delà, cela n’a pas dû se produire souvent. Il m’a dit qu’il avait vu à la télé une pub pour des chocolats, qui lui avait rappelé ma BD sur les chocolats. Il a pensé : « Ils ont copié Toto ! » Il a cherché la vidéo pour me la montrer, mais il ne l’a pas trouvée. Quant à moi, je lui ai fait lire mes Chevaux du Parthénon.
Toujours pas de contact avec « Nicolas ».
Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no7 (intitulé Vincent, Alexandre, Édouard et les autres, 29 novembre 2005 – 18 mars 2006), j’ai dix-sept et dix-huit ans.