Je finis pour de bon mon boulot de textile. Je le range au placard. Je ne le ressortirai que pour le concours…
Sur MSN, Nicolas vient me causer. À la question rituelle « Ça va ? », il me répond : « Mal. Problème de famille. » Nous discutons un peu, mais il n’est vraiment pas loquace. Il n’a pas l’air en forme, certes. C’est marrant : je m’attache à ce garçon que je ne connais pas.
Sur Rezo-G, j’aborde Florian. Il se souvient bien de moi… Nous discutons un peu. J’évoque ce 23 juin 2005 où nous nous étions rencontrés par hasard à Saint-Germain : j’étais à une terrasse de café « en plein déballage sentimental avec le beau brun taciturne ». De ça aussi, il s’en souvient ! Et il me dit qu’il l’a mal pris, ma façon un peu brusque de le rembarrer quand il a déboulé. Je lui explique donc la situation. Ça m’a fait plaisir, cette conversation avec lui.
Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no7 (intitulé Vincent, Alexandre, Édouard et les autres, 29 novembre 2005 – 18 mars 2006), j’ai dix-sept et dix-huit ans.