Une observation amusante : chaque année, je vieillis d’un an. La revue La Piscine est témoin de ce phénomène, de son numéro zéro (j’avais vingt-sept ans) à son numéro trois (qui vient de paraître).
![](https://textes.antonincrenn.com/wp-content/uploads/2018/10/19C51E4C-629A-46CD-B712-C46DCCCECB7B-e1540897606635.jpeg)
![](https://textes.antonincrenn.com/wp-content/uploads/2018/10/DFE3E641-E97C-48DA-A4AD-6BDD60FB83FE-e1540897636366.jpeg)
![](https://textes.antonincrenn.com/wp-content/uploads/2018/10/683E9962-26A7-418B-AA15-3CC2CC8000BA-e1540897534543.jpeg)
![](https://textes.antonincrenn.com/wp-content/uploads/2018/10/36933154-DA3F-46EC-A4A9-1435F3E4DEC2-e1540897580663.jpeg)
Jusqu’où cela nous mènera-t-il ?
Une observation amusante : chaque année, je vieillis d’un an. La revue La Piscine est témoin de ce phénomène, de son numéro zéro (j’avais vingt-sept ans) à son numéro trois (qui vient de paraître).
Jusqu’où cela nous mènera-t-il ?