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Une plante au goût d’enfance

Publié parAntonin Crenn 19 février 201711 octobre 2018

« Une plante au goût d’enfance, un chien qu’on empoisonne, une mort qui tient de l’escamotage. Étrange, proche du rêve, l’art tout en finesse d’Antonin Crenn. »

C’est Raymond Penblanc qui écrit ceci, à propos de Passerage des décombres.

Publié parAntonin Crenn19 février 201711 octobre 2018Publié dansJournalÉtiquettes : la presse, Passerage des décombres, Raymond Penblanc

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