Je retourne à Duperré. J’essaie de vendre des Bazart, mais j’ai beaucoup de mal. On n’aurait pas dû en imprimer autant : les gens du BDE ne se rendent pas compte.
J’aime répondre aux questions des visiteurs et leur présenter nos travaux.
À la « boutique » des portes ouvertes, il y a Célie qui vend ses monstres. Je lui achète le plus mignon. Il y a aussi Romain (le garçon de mise à niveau B) qui vend des petits carnets qu’il relie en cuir, et j’en achète un. (Hier à Estienne, j’ai acheté deux exemplaires de À vendre, invendus… petites annonces équivoques.)
Flore est venue avec Marine, que j’avais rencontrée à son anniversaire. Surtout, je croise Alexandre. Il me présente son copain, M*.
plus tard
Je passe à la bibliothèque du Vésinet. Mes choix sont éclectiques, puisque j’emprunte : L’hippopotame : un drôle de sous-marin au rayon enfants ; XY : l’identité masculine d’Élisabeth Badinter.
Je bosse mon exposé sur Tardi pour le cours d’histoire de l’art de mardi.

Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no7 (intitulé Vincent, Alexandre, Édouard et les autres, 29 novembre 2005 – 18 mars 2006), j’ai dix-sept et dix-huit ans.