Il s’appelle Martin, comme celui du Héros et les autres, car, pour moi, c’est le même Martin. Qui n’a certes pas la même vie – mais dans sa tête, c’est tout pareil. C’est pourquoi je lui ai donné, naturellement, le même prénom.
C’est à nouveau Martin, donc, dans ce texte paru dans le numéro 13 du Cafard hérétique : « Peine perdue ».
Et, sur cette photo, les mots que vous voyez sur la page de gauche sont de Guillaume Marie. Oui, c’est à nouveau Guillaume.