Rêve 100 % É*. Je n’aime pas la première partie, mais la deuxième si.
Première partie. Je suis sur Internet et je cause avec lui sur ce fameux chat. Mais, au bout de quelque temps, il branche sa webcam… et je me rends compte que ce n’est pas lui. Je me suis donc trompé ! Le mec que j’ai cru reconnaître sur ce chat n’est pas É*.
Deuxième partie. Nous sommes dans une salle de classe, assez grande, genre la salle des BTS com’, tables blanches. Il est dans le fond. Un peu au-devant, il y a B*. B* qui est nouveau dans ce groupe, mais qui a vite sympathisé avec les autres. Il est en train de dessiner dans l’agenda d’É* (référence au dessin que j’ai fait dans l’agenda d’Alexandre). Sur son dessin, on reconnaît la tête d’É* de profil, souriant, avec une sorte d’arc-en-ciel qui jaillit de sa tête par l’arrière. B* me dit : « Allez, vas-y ! » Il m’encourage à aborder É*, car il me dit que celui-ci est accessible : « Profites-en, vas-y maintenant ! » Je ne me souviens pas bien de la suite : comment j’ai abordé É*. Mais je suis sûr que nous avons parlé ensemble, car le rêve durait encore longtemps.
J’ai envie de sexe, j’ai envie d’amour, j’ai envie de complicité avec un garçon homosexuel.
Ce matin, vague tentative de travail. Puis, nous allons chez mamie tous les trois. Pour l’aider à faire du rangement et du ménage. Nous attaquons le plus gros : le tri des médicaments. Par centaines. C’est effrayant. Mais on est efficaces.
Je trouve un vieux plan de Paris, dont j’évalue la date entre 1970 et 1975. Je joue à chercher les différences…
Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no8 (intitulé Croissance exponentielle, 19 mars – 23 juin 2006), j’ai dix-huit ans.