Je croise É* et je n’ose pas sortir le « salut » que je prévoyais. Bon.
Plus tard, je lui dis « merci » parce qu’il me tient la porte. Bon.
Journée plutôt agréable.
Cours de maths à 17h30 (ce qui est une infamie, à une heure pareille, vous en conviendrez). Heureusement, il s’agit de maths au ras-des-pâquerettes, en mode rattrapage, et il semble que j’aurai le droit d’y échapper si j’estime ne pas en avoir besoin. Dont acte.
Pendant le cours, Léo, à côté de moi, fait ce dessin que je trouve particulièrement élégant (j’aime son style) ; c’est un autoportrait. Delphine se dessine à son tour, dans un coin. Léo me laisse garder ce papier, mais il a l’air étonné que j’y trouve un intérêt. Il est pourtant chouette, ce dessin.

Cette rubrique « Carnets » reprend le journal que j’ai commencé à tenir en 2003. Dans ce carnet no7 (intitulé Vincent, Alexandre, Édouard et les autres, 29 novembre 2005 – 18 mars 2006), j’ai dix-sept et dix-huit ans.