Le fin fond de mes tiroirs

Avant, j’étais jeune, j’étais fou, j’avais la patience de faire des détails et des hachures, et de dessiner à la plume. Maintenant, dès qui faut plus de trois traits pour un dessin, ça m’ennuie.

Ceci pose la question cruciale du Sens du Progrès, le mot Sens étant entendu dans sa double acception de Direction et de Signification.

2 réponses sur « Le fin fond de mes tiroirs »

  1. halte à l’auto-sabotage !
    « sens » du progrès où « sans » progrès ?
    bon, j’arrête.
    (ps : comment-dit on ? Ah oui : sortez vous les doigts du cul bande de feignasses ! injonction qui tient aussi pour Kenelys)

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